Les sources de pollution intérieure maison habitation COV / Sources de pollution intérieure :
L’une des sources de pollution intérieure, sources de pollution au sein d’un espace confiné, tel qu’une maison d’habitation, peut être les gaz COV (Composés Organiques Volatils).
Ce sont des gaz constitués de carbone, mais aussi d’hydrogène, d’hétéroatomes (autre élément que le carbone ou l’hydrogène dans un composé organique).
Les spots COV (sources de COV) peuvent être situés sous les bâtiments construits sur d’anciens sites industriels pollués par des hydrocarbures et divers autres polluants.
La préservation de la santé humaine et de l’environnement est une priorité des pouvoirs publics pour prévenir des nuisances de dépollution liés aux activités industrielles.
Des améliorations continues ont été apportées, les connaissances les techniques et les méthodes de gestion se sont développées, ainsi la toxicité des substances est mieux connue, les procédés industriels sont plus sûrs car leur conduite s’appuie sur une instrumentation de plus en plus précis et fiable la surveillance, ainsi que le contrôle à l’intérieur et autour de ses installations à risque de pollution.
Sources de pollution intérieure : la réglementation a été renforcée, en partie du faite des nouvelles directives européennes, des émissions polluantes rejetées par les installations industrielles dans l’eau et dans l’air, ainsi que les quantités de déchets produits.
Aujourd’hui, bien inférieur à ceux du passé, les déchets sont gérés dans les filières de gestion adaptées, ceux qui ne présentent pas de danger sont recyclés
Pour les années à venir ces dispositifs de prévention et de gestion permet de garantir des impacts mieux contrôler et mieux gérés sur l’environnement.
De plus, en cas de pollution de l’environnement, les responsables sont maintenant tenus de réparer les dégâts…
Mais que sont devenus les sites industriels qui ont été occupés par les usines et les décharges du passé. Les sites industriels s’éloignent toujours plus des nouvelles zones urbanisées avant d’être rattrapés par de nouvelles constructions. Ainsi l’extension des villes vers la périphérie s’est faite sur les terrains occupés par les sites industriels passés, on n’y a aussi construit des écoles, des espaces de loisirs, des pavillons, certains avec des jardins potagers, des immeubles de bureaux et des parkings.
Ces constructions et ces aménagements pose-t-il un problème pour la santé si le sol a été pollué ? Tout d’abord divers cas de réaménagement d’un site pollué se présentent. On peut tout d’abord réaliser une couche de matériaux propres déposée avant de construire. Si les dépollutions sont restées en place les risques pour la santé dépendent des possibilités de contact avec les pollutions
La plupart des pollutions métallique restent dans les sols à l’aménagement. En effet, un revêtement en enrobé peut empêcher tout contact et isoler cette pollution qui ne présente pas de risque : lorsque le sol a été recouvert il ne peut y avoir de contact donc il n’y a pas de problème. En l’absence d’un tel aménagement ce sont essentiellement les jeunes enfants qui pourraient être vulnérables, car il joue au contact de la terre. En revanche certains polluants présents dans les sols et les eaux sont pérennes et conduisent à une pollution de l’aire par remonter des gaz (COV principalement).
Le problème est alors d’une autre nature et les planchers des bâtiments ne sont pas étanches, les polluants accumulés à l’intérieur de locaux insuffisamment ventilés peuvent nuire à la santé des occupants, d’où les sources de pollution intérieure.
Là encore si le contact avec les pollutions été « vidé » par différentes mesures il n’y a pas de problème. Par exemple un vide sanitaire bien ventilé, placé sous une habitation, permet d’évacuer ces gaz et éviter ainsi les remontées toxiques dans l’habitation.
C’est donc l’analyse des possibilités de contact avec les pollutions passées qui constitue le principe de gestion des risques suivants l’usage futur du site.
Nous réalisons les mesures des COV au sein des habitations, écoles, crèches, par percement de la dalle sous forme de micro-sondages d’un diamètre de 8 millimètres seulement, sans dégradation et sans nuisance, sur notre page Diag pollution du sol.